On envisage rarement un bâtiment sous l’angle de ses fondations. C’est d’autant plus vrai lorsqu’il est question du plus haut édifice de Suisse. Elles constituent pourtant un véritable projet dans le projet, dont les défis ne relèvent pas uniquement de la géotechnique. Ils concernent bien davantage le voisinage avec des bâtiments et des installations sensibles du groupe pharmaceutique bâlois, où tout dommage ou trouble au bon fonctionnement est susceptible d’entraîner de lourdes conséquences financières.