Un ADN historiquement public, l’attachement des Suisses à l’ancienne régie fédérale, le nombre et l’ampleur des projets n’autorisent pas les CFF à être des investisseurs privés comme les autres. Pour «assumer un rôle modèle» et être à la hauteur des enjeux sociétaux, culturels, écologiques, qui traversent et conditionneront nos sociétés pendant les décennies à venir, les CFF n’ont d’autre choix que d’être exemplaires lorsqu’ils construisent la ville, comme ils l’ont été jusqu’à présent dans la gestion de l’infrastructure ferroviaire.