À quel moment de l’histoire de la croissance urbaine genevoise se situe la génération des «nouveaux quartiers»? Comparables par leur ampleur aux cités satellites des années 1960-1970, en sont-ils pour autant les héritiers? Et que se passera-t-il après eux, dans un monde qu’on voudrait décarboné et «zéro artificialisation nette», mais qui devra bien continuer à répondre aux besoins en logements?