Quand on construit à partir d’une page blanche, comme aux Vergers, à La Chapelle-Les Sciers ou à Belle-Terre, quels ingrédients faut-il mettre dans la recette pour fabriquer un quartier, une vie de quartier? Au-delà d’une réponse strictement immobilière aux besoins en logements, quels imaginaires, quelles valeurs, quel projet de société portent ces nouveaux ensembles genevois?