Léopold Lambert

«Il n’y a pas une occupation du terrain et une indépendance des personnes. C’est le pays global, son histoire, sa pulsation quotidienne qui sont contestés, défigurés, dans l’espoir d’un définitif anéantissement. Dans ces conditions, la respiration de l’individu est une respiration observée, occupée. C’est une respiration de combat.»

En France, l’état d’urgence a déjà une longue histoire

Des nouvelles actrices redéfinissent le rôle des femmes architectes

Une histoire et des responsabilités toujours d’actualité

Ambiguïté entre le représentant et le représenté

L’absence des villages palestiniens d’avant 1948 dans le paysage israélien

Une courte contre-histoire de la suburbia américaine

Pour Léopold Lambert, les architectures immanentes sont riches en enseignement. Elles constituent aussi des armes politiques

Deux types de violences se jouent à Gaza, la violence militaire, et la violence quotidienne liée entre autre à la dépendance énergétique

Léopold Lambert évoque ici des structures de différentes échelles, qui tentent toutes de défendre un mode d'existence politique.

La défaillance, élément générateur de récit.

Léopold Lambert estime que le vêtement, tout comme l'architecture, ne pourrait être politiquement neutre.

D'Alger à Hong Kong, en passant pas Caracas, Chandigarh et Paris, Léopold Lambert évoque différents lieux où la ville s'est organisée de manière dense et labyrinthique, souvent à l'insu des autorités.

Raconter l'Histoire en donnant à voir la destruction de monuments.

Léonard de Vinci a, avec son "Homme de Vitruve", dessiné le corps masculin aux proportions théoriquement parfaites. Des architectes, dont Le Corbusier, ont imaginé construire autour d'un corps donné.

Réflexion sur le thème de la frontière.

L’archipel, nouvelle façon de percevoir les territoires ainsi que leur souveraineté politique?

L’œuvre de Gilbert Simondon et la pratique de la conception architecturale